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La possession du meilleur état de santé qu'il est capable d'atteindre constitue l'un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale". Extrait de la Constitution de l 'O.M.S.

 

Le 20ème siècle a été celui des découvertes scientifiques et de l'explosion technologique dans tous les domaines et particulièrement ceux de la médecine et de la santé.

Cela a bouleversé les conceptions médicales au point que certains principes naturels de santé ont été oubliés : ce qu'est la santé ainsi que les conditions qui lui sont favorables ou pas ; ce qu'est un individu avec ses réactions personnelles, son histoire et ses émotions, et au final, qu'est-ce la Vie.

 

Une énorme structure technologique fut mise en place pour livrer une guerre sans merci à la maladie, au détriment du bien des personnes.

La médecine moderne a contribué à déshumaniser la relation thérapeutique avec la personne soignée (examen en laboratoire, radiologie...) ; à pousser à la consommation de médicaments qui à la longue, se révèlent pour certains d'entre eux, toxiques et iatrogènes (= les effets indésirables graves) ; Ã  orienter l'individu vers des spécialités médicales distinctes (cardiologie, pneumologie...) sans personnalisation des soins et de la personne.

L'individu ne participe plus à sa santé car les techniques et traitements utilisés deviennent de plus en plus complexes : l'individu n'a plus contact direct avec sa propre santé.

Des alternatives à ce système de santé existent et nous en sommes les acteurs et décideurs.  

La médecine officielle traite la maladie selon un diagnostic qui répond  aux symptômes de l'organe touché. On traite les effets et non la cause, d'où la possibilité des effets indésirables, et on ne considère pas l'homme dans sa globalité, on évoque peu les notions d'hygiène de vie, de prévention et de la dépendance aux médicaments.

 

"Primum non nocere" : "ne pas nuire"  d'après la règle d'or d'Hippocrate.

 

De cet oubli ont émergé des médecines, dites "non-conventionnelles" et alternatives

(reconnues depuis le 29 mai 1997 par le Parlement Européen) et dont fait partie la naturopathie.

La maladie est l'encrassement des humeurs (sang, lymphe...) : la toxémie due au non-respect des lois de la santé, pertube le système organique. Alors la force vitale prend l'initiative de faire le ménage  du corps et provoque la maladie. Cela n'est pas le fruit du hasard ni une défaillance de l'organisme.

 

"Le corps fait une maladie pour se guérir"  disait Hippocrate.

 

 

Les limites de la naturopathie : 

 

  • l'urgence : lorsque la vie est en danger, lorsqu'il faut agir vite, la naturopathie n'a pas sa place.

  • quand la force vitale n'est pas suffisante pour déclencher l'autoguérison, il faudra l'aider par des techniques d'hygiène vitale :

    • réduire l'alimentation

    • éliminer les toxines

    • augmenter la vitalité

    • dériver l'énergie nerveuse au profit du corps par la relaxation par exemple

    • ne pas pouvoir, ne pas vouloir se prendre en charge.

 

Il s'agit en fait de jouer sur la balance : toxémie/force vitale, en faveur avec la dernière.

 

Si la force vitale de la personne est trop faible : 

Déléguer à l'allopathie, médecine officielle permettra la survie.

 

 

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